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Teddy Perez

Chauffage : est-il temps de l’allumer ?

Dernière mise à jour : 4 oct. 2022

Moins de 10°C le matin, 15°C en journée, la température baisse en ce début d'octobre. Avec le contexte de la guerre en Ukraine, les prix de l'énergie flambent. Les consommateurs sont prévenus et tentent de faire plus attention. À commencer par la date à laquelle le chauffage va être allumé.




Pour un foyer mal isolé ou possédant des appareils chauffants mal-entretenu, c’est une vraie prise de tête de savoir quand est-ce le bon moment pour chauffer, sans que cela ne soit trop excessif à la fin du mois.


Ménages, propriétaires, locataires, travailleurs … beaucoup se questionnent et chaque avis diffère lorsque pointe l’hiver : « De mémoire, je rallume le chauffage vers les mois d’octobre et novembre. » raconte une dame interrogée ce lundi dans le 18e arrondissement de Paris. « Dès les changements de températures fin septembre, j’ai toujours envie de l’allumer plus tôt. J’attends encore un peu et je me couvre bien le soir. » témoigne un étudiant du même quartier. « Malheureusement j’ai craqué, j’ai déjà rallumé le chauffage … » avoue un habitant rue Ordener, manteau remis sur le dos.


Sommes-nous tous logé à la même enseigne ?


L'automne rime avec le retour du chauffage dans nos lieux de vie. Individuel, géré en copropriété ou sous un bailleur social, remettre le chauffage ne dépend pas forcément du choix des habitants eux-mêmes. C’est le cas des locataires des bailleurs sociaux. Action Logement, implanté partout en France, a en charge la gestion du chauffage de ses locataires. En accord avec les bailleurs d’un même territoire, et par respect pour tous les locataires, ils choisissent de la date à laquelle le chauffage est relancé au sein de leur patrimoine immobilier.


Le bailleur social a pour obligation d’assurer un minimum de 19°C au sein de ses logements. « Généralement, c’est autour du 15 octobre que les chauffages sont enclenchés pour notre parc locatif » nous rapporte une gestionnaire du patrimoine de l’agence.

Le locataire a le choix d’augmenter la température de son chauffage, même de le couper, mais peu importe ce qu’il décide, il paiera une charge locative supplémentaire calculée selon la superficie de son lieu de vie. Une méthode qui reste un avantage financier pour les habitants en logement social ou de jeune-travailleur.


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